Ley Lines
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 FRANCE

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Bérénice de Lusignan
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Bérénice de Lusignan


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MessageSujet: FRANCE   FRANCE Icon_minitimeMar 28 Oct - 17:16

Cluny - Banlieue Parisienne

Avant

Ils étaient repartis à Paris en trombe. Ils étaient retournés à l'hôtel presque en courant et chacun avait balancé ses habits à la va vite dans ses sacs. Tout avait été réglé à la vitesse de la lumière. Une étrange impatience les gagnait. Bérénice elle tremblait un peu. Elle savait ce qu'elle avait à faire. En temps normal, elle l'aurait fait venir. Ou aurait continué en prenant son temps. Après tout elle avait l'éternité devant elle. Mais là... ces pièces avaient crées en elle une fébrilité rare. Elle voulait et devait savoir MAINTENANT. Comme si chaque seconde était une seconde de perdue.

Bérénice n'avait plus dit un seul mot, le guidant dans les Ley Lines les lèvres pincées. Elle courrait presque, le tirant par la main. Quand il tentait de regarder sur les côtés, le décors défilait à une vitesse qui lui faisait peur. En une heure et demi à peine ils étaient revenus. Alexis n'avait pas tenté de l'interrompre dans le fil noueux de ses pensées. Elle semblait préoccupée, peut être même inquiète.

Elle ne savait plus où elle en était. C'était une sacrée découverte mais là. Mais ce qui l'inquiétait c'était la façon de résoudre le mystère de ces pièces d'or. Elle aurait pu voir une cohorte d'experts. L'université de Mycènes en avait à la pelle. Mais elle aimait cette indépendance qui la caractérisait, Ancienne ou pas.


Dans les rues de Paris, chacun restait dans son silence méditatif. Bérénice murmura une adresse à un taxi qui filait. Il était déjà 21h. La nuit les entourait. Il allait hurler. Comme toujours. Lui qui la méprisait tant maintenant.

Dans un quartier huppé, rempli d'hôtels particuliers et de voitures luxueuses, Bérénice se glissa hors du taxi qu'elle paya généreusement. La voiture se glissa dans l'obscurité alors qu'Alexis se rapprochait.


Mais où sommes nous ? Tu vas enfin me parler ?

Il avait repris ce ton si froid et distant. Cette rage retenue. Elle se redressa et le toisa.

Tu vas rencontrer mon plus vieil ami.

Elle glissa une clef apparut comme par magie dans la serrure de la porte, accédant ainsi à la cours intérieure. Alexis ne dit plus rien, se doutant qu'il allait aller de surprise en surprise.

Sans frapper, Bérénice ouvrit la porte d'entrée et se glissa dans le hall en ôtant son manteau et le déposant négligemment sur un fauteil. Il faisait nuit noire et pourtant elle se glissa dans la maison sans rien allumer.


Mais enfin ?

Le ton de sa voix était pressant et Bérénice daigna lui sourire.

Il arrive. On l'a réveillé. Il s'habille et descend.
Comment tu sais ça ?
Il est télépathe... Et sent la présence de l'Anima dans les gens. Il reconnaitrait la mienne entre milles sans nul doute. Donc il sait que je suis là et vu l'heure, c'est pressant.
Il n'est que 22H.
Callimaque se couche très tôt.
Callimaque ? De Syrène ?

Alexis la contempla médusé. Elle lui souriait... Gênée.
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Bérénice de Lusignan
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MessageSujet: Re: FRANCE   FRANCE Icon_minitimeLun 10 Nov - 1:38

Banlieue parisienne



Bérénice pénétra une pièce. Elle avait pris la main d'Alexis et le guidait derrière elle, malgré la nuit.


Mais pourquoi tu n'allumes pas ?
Chuuuut... fais le vide dans ton esprit. Callimaque va tout lire.
Pourquoi tu en es si sûre ?
Parce qu'il ne peut pas pénétrer le mien. Sauf si je le souhaite. Je ne l'ai ouvert qu'un bref instant pour signaler ma présence en plus de la tienne, histoire qu'il ne s'inquiète pas d'un voleur. Mais maintenant... je préfère rester sur mes gardes.

Un clic résonna dans la pièce où ils se trouvèrent. Bérénice venait d'aller une lampe.

Allume les autres... je vais préparer du café pour tout le monde.

Elle disparut de la pièce d'un pas léger, glissant sur le parquet du salon. Elle passa dans une cuisine toute simple quoique bien équipée et ricana. Ça donnait un genre... en même temps hormis boire du café ici, il ne mangeait jamais chez lui.

Elle chauffa trois tasses d'eau et versa du café soluble en ronchonnant. Il n'avait toujours pas investi dans une vraie cafetière. C'était une hérésie. La prochaine fois qu'elle viendrait elle en amènerait une.


Tu dis toujours ça et tu ne le fais jamais.

Elle entendit les râleries du vieil homme et rit franchement. Elle revint avec les trois tasses. Alexis la regardait surpris.

Je croyais qu'il ne lisait pas ton esprit.
Non. Mais il sait très bien que je vais me plaindre de la bouillasse qu'il offre. Enfin que je dois faire.
Jeune insolente que viens tu faire ici ? Ça fait combien de temps ?

Bérénice s'installa dans un fauteuil, confortablement, prenant son temps, buvant son café par petites gorgées, sans répondre. Elle regardait les murs lambrisées, ses tableaux de maitres, sa décoration un peu trop tapageuse.

Une nouvelle acquisition ?
Qu'est ce que ça peut te faire reine de pacotille ? Misérable traitresse.
Hiiin...

Elle haussa les épaules et reposa sa tasse. On entendait le tic tac d'une horloge installée dans un coin. Bérénice dodelina de la tête.

Cinq.
Pardon ?

Alexis sursauta.

Cinq ans.

Elle croisa ses jambes. Elle continuait de regarder autour d'elle comme si de rien n'était.

Alors ? Tu veux bien me dire ce que tu fais ici ?

Bérénice fit semblant de se limer les ongles. Puis jeta un coup d'oeil à Callimaque pour mieux sourire à Alexis l'air de rien.

D'accord, d'accord. Je m'excuse. Ton article était fabuleux. Ton mariage aussi. Et ce que tu as fait il y plus de deux milles ans était le meilleur choix. Ça te va.
Non mais y a du progrès. On rentre de Cluny.
Ah ? C'est un... marcheur ?

Il hésita sur le terme.

Non. Un Ami. Le cousin de feu mon mari à vrai dire. Mais on s'en fiche, tu le sais déjà à lire en lui.

Callimaque fit une grimace.

Moui... raconte moi... et puis d'abord pourquoi ne parlons nous pas grec ?
Parce qu'Alexis ne le parle pas. Et que je suis rouillée. On a trouvé ça.

Elle sortit de sa poche la pièce et la lança à Callimaque. Malgré son aspect de vieillard il fut d'une agilité étonnante.

Hummmm... Cluny dis tu ? Voilà qui devient intéressant.
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Bérénice de Lusignan
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MessageSujet: Re: FRANCE   FRANCE Icon_minitimeJeu 27 Nov - 23:12

Callimaque regardait attentivement la pièce sous tous les angles. Bérénice elle laissait sa tête dodeliner, épuisée par les derniers évènements. Elle baillait un court instant et sentait son esprit s'éloigner doucement. Elle entendait les murmures de son mentor qui commentait chaque découverte. Et les rires d'Alexis. Il devait se moquer d'elle. Mais elle partait inexorablement. De toute façon Callimaque allait prendre son temps et son rapport serait très complet demain matin.

Je devrais aller me coucher.

L'effort pour prononcer cette simple phrase lui avait parrut énorme. Elle n'avait même pas envie d'aller s'allonger. Le fauteuil serait assez confortable. Tant pis pour les courbatures le lendemain matin. Elle était déjà comme dans du coton.

Les voix s'éloignaient de plus en plus mais elle comprenait encore qu'ils dialoguaient entre eux. Finalement elle s'endormit pour de bon. Elle le savait en voyant des pièces traverser la pièce. Ça n'était pas rationnel.

Et puis soudain elle se sentit légère. Elle ne touchait plus rien. Ses bras cherchèrent instinctivement un support et rencontrèrent le cou d'Alexis. Elle sourit et se lova un peu plus contre lui. Dans ses cheveux il lui parlait :


je ne te savais pas aussi légère.

Callimaque parlait. Il devait indiquer par où aller. Se réveillant légèrement, elle voulut soulever une paupière mais n'y parvint pas. Elle bailla encore et sentit des secousses qui montraient qu'ils montaient les escaliers. Elle visualisa dans son esprit le chemin à prendre. Quand il tourna à gauche, elle voulut lui dire que c'était à droite mais seul un grognement indistinct sortit.

Finalement elle entendit un bruit mat, comme un pied qui pousse une porte. Elle se sentit encore flotter un peu puis toucher un support tendre.

Une couverture sur ses épaules. Des lèvres qui effleurent sa joue. Elle se retourna, soupira et s'endormit pour de bon.
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Bérénice de Lusignan
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MessageSujet: Re: FRANCE   FRANCE Icon_minitimeDim 7 Déc - 2:41

Quelque chose réchauffait son visage. Bérénice souleva une paupière encore lourde de sommeil et se rendit compte qu'un rayon de soleil transperçait les rideaux tendus sur la fenêtre. Elle bougea un peu, tendant un bras pour s'étirer. Son bras rencontra la tête de lit dans un bruit mat. Elle poussa un grognement, plus d'agacement que de douleur. Elle se tourna de l'autre côté, tapotant vaguement l'oreiller pour s'accrocher à lui et tenter de se rendormir tout en se demandant où elle pouvait bien être.
Les draps étaient légers et frais. Elle se sentait bien. Elle se tourna encore une fois, revenant dans le champs du soleil. De nouveau elle leva une paupière un peu plus éveillée et se rappela qu'elle était chez Callimaque.
Des années qu'elle n'était pas venue dormir ici. Cette chambre avait été son refuge plus d'une fois. En plus d'une époque. Elle se redressa, relevant les genoux, elle chercha des yeux un réveil. Quand elle vit les chiffres affichés, elle écarquilla les yeux, persuadée d'avoir mal vu. Elle écarta brusquement le drap et réalisa qu'elle était en tenue de nuit. Estomaquée, elle grommela sur la mauvaise éducation d'Alexis. ça ne pouvait être que lui. Elle sortit du lit, attrapa un long kimono bleu ciel, assorti à la nuisette et fila de la chambre. Dévalant les marches deux à deux, elle fila à la bibliothèque. à 14h passées, il devait être en train de travailler avec Callimaque et elle passerait pour une impolie et une feignante, deux sentiments qui l'exaspéraient au plus haut point.
Elle ouvrit la porte avec violence dans la ferme intention de dire ses quatre vérités à ce malotru et allait crier quand elle se retrouva avec... personne.

Surprise elle secoua la tête, comme si brusquement il allait appaître dans la pièce. Mais non. Personne. Pas même Callimaque. Elle se dirigea alors dans le bureau. Peut être n'avaient ils besoin d'aucun document précis. Mais là encore il n'y avait personne. Exaspérée et frustrée de ne pas pouvoir crier, Bérénice eut quand même le bon sens de se calmer. Elle remonta à l'étage et prit la résolution de faire comme si de rien n'était. Après tout, il avait du se douter qu'elle enragerait. Alors pour la peine, elle ferait l'inverse. Feindre l'indifférence. Des affaires amenées avec elle, elle en choisit une confortable mais toujours élégante, un tailleur couleur crème. Elle disparut dans la salle de bain attenant à sa chambre et se doucha en prenant son temps et en faisant en sorte de faire assez de bruit pour avertir tout le quartier de sa présence.
Elle finit par redescendre. Seule trace de sa douche, ses cheveux mouillés brillaient et bouclaient à la perfection. Elle sentit alors une délicieuse odeur de café et de toasts grillés.
La guerre des nerfs continuaient. Si Alexis se mettait à cuisiner c'était que soit il voulait l'empoisonner, soit il avait quelque chose à se repprocher.

Elle entra dans la cuisine. Une tasse de café, des tartines, du beurre et des confitures l'attendaient.


Bonjour.

Le ton était joyeux et naturel. Trop au goût de Bérénice. Elle hocha simplement de la tête et s'installa.

Je me suis dit que tu serais affamée.
Merci.

Suspicieuse, elle renifla la boisson. Puis haussa les épaules. Au pire elle serait de retour dans trois jours pour lui régler son compte.
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Bérénice de Lusignan
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MessageSujet: Re: FRANCE   FRANCE Icon_minitimeMar 16 Déc - 17:43

Ils mangeaient leur petit déjeuné en lisant le journal du matin. Assis côte à côte, lisant les pages à tour de rôle, ils commentaient l'actualité. Ils semblaient être dans un cocon calme où ils faisaient enfin connaissance. Ni rancune, ni colère... pas même de malédiction. Bérénice se sentait loin de ce monde dont elle se tenait informée. Comme si elle était à l'extérieur, protégée. Un vague sentiment de bonheur la gagnait mais elle refusait de mettre un mot dessus, sachant très bien quelles en seraient les conséquences.
Elle buvait son café lentement, le savourant, prenant son temps comme elle n'en avait plus l'habitude. C'était une matinée sacrée.
Alexis lui semblait aussi à l'aise et ça l'enchantait. Comme si tous les reproches qu'il avait pu lui faire n'avaient

jamais existé.

Au fait il ne dort pas beaucoup hein ?

Il rompait le silence, cherchant à en découvrir plus. Bérénice garda un moment le silence, cherchant où il voulait en venir, retrouvant soudain sa défiance. Pourtant elle tenait à rester honnête. Quel mal y aurait il à une telle question ?

Il ne dort plus en fait depuis des siècles.
Ah bon ?
Il s'en fiche. Au pire quoi ? Il meurt d'épuisement ? Mais la seule personne à qui il tienne un tant soit peu est aussi immortelle. Comme je ne risque rien, il se fiche pas mal des conséquences de ses actes. Il a fait la même erreur que moi fut un temps. Et il s'est reclu pour ne tuer personne.
Ce n'est pas un peu radical non ?
Peut être mais sa mort ne prête pas à conséquence. Que la mienne...

Le téléphone les fit bondir. Bérénice tendit machinalement la main sur le combiné mais la sonnerie avait déjà cessé. Ils se redressèrent. Alexis leur servit un nouveau café et ils se dirigèrent d'un commun accord vers le bureau de Callimaque pour aller aux nouvelles.

BERENIIIIIIIIIICE !

La voix maussade de Callimaque résonna alors depuis l'autre côté de l'hôtel particulier.

Quelle impatience.
C'est tout lui ça. Dès qu'il s'agit de technologies...

Bérénice glissait sur le parquet, arrivant très vite dans le bureau de son mentor dont le regard noir l'interpella.


Pour toi.

Il lui tendait d'un air dégouté le téléphone.

Allo ? Elisabeth ?
...
oui ? Mais...
...
Non. Je n'ai pas le temps ni l'env...
...
Pardon ?
...
j'arrive au plus vite.

Bérénice raccrocha. Elle se demanda un bref instant si son coeur n'allait pas exploser de joie et d'espoir. Elle avait cessé de croire depuis longtemps maintenant. Mais cette fois enfin elle avait quelque chose de concret comme rarement elle en avait eu.

Alexis... Callimaque... je dois vous abandonner. Je pars pour Mycène.
Que veulent ces charlatans ? Ils t'ont encore embobiné !
Rhoooo Callimaque... Cesse donc de te plaindre. Ils sont une aide précieuse. Et aujourd'hui tout pourrait changer pour nous... ils ont... une amulette...
Tu y crois encore ? Ils t'en trouvent une chaque année.
Je connais et partage ton cynisme. Mais la conviction d'Elisabeth était sincère. Alors j'y vais. Je risque quoi ? Plus de déception ? Après plus de vingt siècles tu crois que c'est encore possible ? Je pars dès maintenant.
Tu comptes passer par où ?
Cluny... Rome... Mycènes.
Bien alors arrête toi à Rome. Va voir le Signore Veniere. Il te remettra quelque chose à donner à Thomas et Elisabeth. Peut être que ces énergumènes daigneront alors nous oublier. Et tu devrais les oublier toi aussi. Même à titre honorifique, faire partie des Anciens est une responsabilité trop grande...
Je peux t'accompagner ??
désolée mais je veux y aller seule. Tu as eu droit à Cluny comme tu le souhaitais. J'ai exhausser ta demande. Rentre donc et rassure Clarisse. Mais surtout ne lui dis pas où je vais.
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